Le recouvrement d'âme est un travail difficile de bien-etre qui est long, complexe.. qui demande une vibrante confiance entre le consultant et moi car les séances sont longues et parfois cela requiert plusieurs rendez-vous et sollicite aussi un véritable travail du consultant sur lui-même, qui peut prendre plusieurs mois, voir des années.
La première séance est un entretien où nous voyons ensemble les possibles de bien-être et les souhaits du consultant à travers ses expériences de vie positives comme négatives, une relation privilégiée et respectueuse se met en place ou l'intimité du consultant à travers ses doutes comme ses peurs resurgissent de sa mémoire et à travers ses émotions impactent sa réalité quotidienne.
La première séance est un entretien où nous voyons ensemble les possibles de bien-être et les souhaits du consultant à travers ses expériences de vie positives comme négatives, une relation privilégiée et respectueuse se met en place ou l'intimité du consultant à travers ses doutes comme ses peurs resurgissent de sa mémoire et à travers ses émotions impactent sa réalité quotidienne.
Tarif:
Entretien initial obligatoire avec le consultant: 80 euros Toutes les séances suivantes: 50 euros Déplacement en sus : 50 euros |
Uniquement sur rendez-vous au 06.46.74.70.16
Je me déplace aussi au domicile du consultant |
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INTÉGRITÉ ÉNERGÉTIQUE et SPIRITUELLE
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INITIATION et INCARNATION
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FORCE CRÉATRICE
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INTEGRITE ENERGETIQUE et SPIRITUELLE
Dans le chamanisme, l’âme assure l’intégrité énergétique et spirituelle de l’individu. Mon travail de chaman consiste à maintenir cette intégrité, et parfois à la rétablir. Dans le chamanisme, tout n’est finalement qu’une histoire d’âme : lorsque celle-ci est bien ancrée dans le corps, qu’elle est unifiée et présente dans la réalité matérielle, l’individu est en pleine possession de ses moyens.
Il est alors protégé de la maladie, de la souffrance et de la peur, et ressent la connexion intime qui le relie au sens de l’existence et lui permet d’exprimer librement sa créativité et son enthousiasme.
Il arrive cependant que l’âme ne soit pas complètement présente dans le corps, et que l’être souffre de son absence ; il lui manque ou il a perdu « quelque chose », et ce sera au chamane, « l’appeleur d’âmes », de partir à la recherche de ce supplément d’âme qui lui fait défaut, et de lui restituer.
Alors que dans les cultures traditionnelles, la perte de l’âme a dans la plupart des cas des causes surnaturelles (esprits possessifs, sorcellerie, etc.), mes guides expliquent que « de nos jours, [elle] est souvent due à des traumatismes comme l’inceste, les abus sexuels, la perte d’un être aimé, la chirurgie, un accident, une maladie, une fausse couche, un avortement, le stress du combat ou encore les toxicodépendances. » Confrontée à la douleur ou à un choc, l’âme se morcèle et certains de ses « fragments » retournent dans la réalité non ordinaire, audelà du temps, de l’espace, de la souffrance et de la douleur. Autrement dit, des parties de l’âme s’échappent du corps et vont se ressourcer dans leur berceau spirituel, loin des aléas de l’existence matérielle.
Cependant, la perte de l’âme n’est pas uniquement provoquée par des événements traumatisants, et le seul fait de venir prendre forme dans un corps humain peut suffire à provoquer un morcèlement de l’âme. Elle peut avoir des difficultés à assumer d’avoir pris forme dans la matière, acte courageux s’il en est.
Dans le chamanisme, l’âme assure l’intégrité énergétique et spirituelle de l’individu. Mon travail de chaman consiste à maintenir cette intégrité, et parfois à la rétablir. Dans le chamanisme, tout n’est finalement qu’une histoire d’âme : lorsque celle-ci est bien ancrée dans le corps, qu’elle est unifiée et présente dans la réalité matérielle, l’individu est en pleine possession de ses moyens.
Il est alors protégé de la maladie, de la souffrance et de la peur, et ressent la connexion intime qui le relie au sens de l’existence et lui permet d’exprimer librement sa créativité et son enthousiasme.
Il arrive cependant que l’âme ne soit pas complètement présente dans le corps, et que l’être souffre de son absence ; il lui manque ou il a perdu « quelque chose », et ce sera au chamane, « l’appeleur d’âmes », de partir à la recherche de ce supplément d’âme qui lui fait défaut, et de lui restituer.
Alors que dans les cultures traditionnelles, la perte de l’âme a dans la plupart des cas des causes surnaturelles (esprits possessifs, sorcellerie, etc.), mes guides expliquent que « de nos jours, [elle] est souvent due à des traumatismes comme l’inceste, les abus sexuels, la perte d’un être aimé, la chirurgie, un accident, une maladie, une fausse couche, un avortement, le stress du combat ou encore les toxicodépendances. » Confrontée à la douleur ou à un choc, l’âme se morcèle et certains de ses « fragments » retournent dans la réalité non ordinaire, audelà du temps, de l’espace, de la souffrance et de la douleur. Autrement dit, des parties de l’âme s’échappent du corps et vont se ressourcer dans leur berceau spirituel, loin des aléas de l’existence matérielle.
Cependant, la perte de l’âme n’est pas uniquement provoquée par des événements traumatisants, et le seul fait de venir prendre forme dans un corps humain peut suffire à provoquer un morcèlement de l’âme. Elle peut avoir des difficultés à assumer d’avoir pris forme dans la matière, acte courageux s’il en est.
INITIATION et INCARNATION
Dans la plupart des cultures traditionnelles, les rites de passage et les initiations sont autant de manières de renforcer le lien à l’âme, ou d’en récupérer des morceaux qui seraient partis en vagabondage. Pour prendre un exemple classique, lorsque l’individu ritualise son passage à l’âge adulte, il intègre son âme d’adulte, qui vient en quelque sorte compléter son âme d’enfant. Inutile de préciser que dans ces cultures, les rites de passage sont les moments les plus importants de la vie de l’individu, parce que c’est par leur intermédiaire que ce dernier se définit en tant qu’être incarné dans un corps, et qu’il prend sa place dans le groupe social.
« Nous vivons pour être initiés ». Cela signifie qu’au-delà de nos préoccupations triviales et « terrestres », nous vivons avant tout pour intégrer notre âme, pour l’incarner pleinement. Dans la société moderne, il semblerait que nous ayons cruellement besoin de retrouver nos âmes, ne serait-ce que parce que nous les avons délaissées en cessant de croire en elles.
Il est d’autant plus intéressant d’observer que dans les symptômes classiques de la perte de l’âme, il y a le fait d’être sans cesse en quête de quelque chose, d’être insatisfait, de consommer aveuglément pour chercher à remplir un vide. Selon cette grille de lecture chamanique, la société de consommation serait la résultante d’un manque d’âme généralisé.
Dans la plupart des cultures traditionnelles, les rites de passage et les initiations sont autant de manières de renforcer le lien à l’âme, ou d’en récupérer des morceaux qui seraient partis en vagabondage. Pour prendre un exemple classique, lorsque l’individu ritualise son passage à l’âge adulte, il intègre son âme d’adulte, qui vient en quelque sorte compléter son âme d’enfant. Inutile de préciser que dans ces cultures, les rites de passage sont les moments les plus importants de la vie de l’individu, parce que c’est par leur intermédiaire que ce dernier se définit en tant qu’être incarné dans un corps, et qu’il prend sa place dans le groupe social.
« Nous vivons pour être initiés ». Cela signifie qu’au-delà de nos préoccupations triviales et « terrestres », nous vivons avant tout pour intégrer notre âme, pour l’incarner pleinement. Dans la société moderne, il semblerait que nous ayons cruellement besoin de retrouver nos âmes, ne serait-ce que parce que nous les avons délaissées en cessant de croire en elles.
Il est d’autant plus intéressant d’observer que dans les symptômes classiques de la perte de l’âme, il y a le fait d’être sans cesse en quête de quelque chose, d’être insatisfait, de consommer aveuglément pour chercher à remplir un vide. Selon cette grille de lecture chamanique, la société de consommation serait la résultante d’un manque d’âme généralisé.
FORCE CREATRICE
Pour accomplir un recouvrement d’âme, je vais entreprendre un voyage chamanique durant lequel mes esprits alliés me conduiront là où se trouve le morceau d’âme qui s’est réfugié dans l’autre monde. Dans certains cas, je peux me rentre dans le passé du consultant et percevoir les circonstances qui ont provoqué la fuite de son âme, alors que dans d’autres cas, je voyagerais dans des mondes très éloignés de la réalité tangible qui ne me seront perceptibles que par pure abstraction.
Dans tous les cas, je ferais en sorte de retrouver l’âme du consultant, que je pourrais ensuite ramener dans la réalité ordinaire et ancrer dans le corps de celui-ci, par exemple en l’insufflant dans son cœur.
Pour accomplir un recouvrement d’âme, je vais entreprendre un voyage chamanique durant lequel mes esprits alliés me conduiront là où se trouve le morceau d’âme qui s’est réfugié dans l’autre monde. Dans certains cas, je peux me rentre dans le passé du consultant et percevoir les circonstances qui ont provoqué la fuite de son âme, alors que dans d’autres cas, je voyagerais dans des mondes très éloignés de la réalité tangible qui ne me seront perceptibles que par pure abstraction.
Dans tous les cas, je ferais en sorte de retrouver l’âme du consultant, que je pourrais ensuite ramener dans la réalité ordinaire et ancrer dans le corps de celui-ci, par exemple en l’insufflant dans son cœur.
Cette approche du recouvrement d’âme est largement pratiquée aujourd’hui dans le cadre du chamanisme moderne. Décrite ainsi sommairement, cette technique peut sembler relativement simple à mettre en oeuvre, mais elle demande cependant une certaine expérience de la part du chamane praticien, car le travail sur l’âme est un travail d’orfèvre. On ne « joue » pas avec le recouvrement d’âme, parce qu’il met le praticien en contact avec l’intimité la plus profonde de la personne pour laquelle il travaille.
Une fois que l’âme a été récupérée par le chamane, c’est ensuite au tour du client d’entreprendre un travail d’intégration – ou d’incarnation –, qui peut prendre des semaines, des mois, voire des années à mûrir. Car l’âme qui est de retour a soif de nature, de beauté et de joie de vivre, et elle demande que l’on s’occupe d’elle. Cela peut parfois signifier entreprendre de grands changements dans sa manière de vivre – autrement dit, mettre plus d’âme dans sa vie. Mais avant tout, il s’agit d’apprendre à être soi-même, car être soi-même est l’expression la plus simple et directe de l’âme.
Source: L.H.
Une fois que l’âme a été récupérée par le chamane, c’est ensuite au tour du client d’entreprendre un travail d’intégration – ou d’incarnation –, qui peut prendre des semaines, des mois, voire des années à mûrir. Car l’âme qui est de retour a soif de nature, de beauté et de joie de vivre, et elle demande que l’on s’occupe d’elle. Cela peut parfois signifier entreprendre de grands changements dans sa manière de vivre – autrement dit, mettre plus d’âme dans sa vie. Mais avant tout, il s’agit d’apprendre à être soi-même, car être soi-même est l’expression la plus simple et directe de l’âme.
Source: L.H.